Il est temps que je vous parle d'une oeuvre qui a eu un rôle majeur dans ma vie, et qui fait l'unanimité. Le mot Série ou TV Show ne semble pas suffisant pour ce bijou de fiction filmée qu'est Six Feet Under.
Cinq saisons (trop courtes) nous ont été offertes par l'immense génie Alan Ball (American Beauty, True Blood) où l'approche de la mort, de l'amour, de l'homosexualité, des relations familiales, de l'art sont traités d'une manière si intense, que chaque épisode a un effet quasi thérapeutique sur nous.
Ces thèmes sont traités avec élégance, profondeur, et justesse, si bien que les personnages principaux deviennent sans que l'on s'en rende compte comme de véritables intimes que l'on aime, pour lesquels on pleure mais qui savent aussi nous faire (beaucoup) rire.
Comme je l'ai lu sur une critique extrêmement bien écrite, Six Feet Under mérite davantage le titre d'une grande oeuvre littéraire .
La série nous montre le quotidien d'une entreprise funéraire tenue par la famille Fisher, mais également leur vie amoureuse, familiale, ou scolaire. Alan Ball joue avec les tabous (la mort, l'homosexualité, la maladie), sans aucun faux pas, l'écriture des dialogues est intelligente et d'une finesse inégalable.
Vous l'aurez compris, j'aime cette série, et c'est un doux euphémisme. Six Feet a changé ma vision de la mort, de l'homosexualité, de l'adoption, et a singulièrement traités très justement de choses qui ont fini par également m'arriver avec une ressemblance et un timing troublants.
Canal + et France 2 ont tous deux traités cette oeuvre avec un irrespect et un dédain impardonnable, diffusant une ou deux saisons en pleine nuit, sans aller jusqu'à l'ultime saison.
Incompréhensible quand on sait que n'importe quelle critique, commentaire ou témoignage pris au hasard sur internet ne fait qu'encenser ce petit bijou.
Six Feet Under me manque beaucoup, le final (absolument sublime) ne laisse aucun doute sur son arrêt définitif, mais c'est peut être ce qui fait tout son charme...5 saisons parfaites, pas une de plus, ni une de moins.
Pour se consoler, on peut retrouver les personnages principaux, à l'interprétation phénoménale dans d'autres séries qui se sont intelligemment crée autour d'eux :
Dexter pour Michael C Hall (David Fisher)
Dirty Sexy Money pour Peter Krause (Nataniel Fisher)
On peut également entrevoir Freddy Rodriguez (Federico Diaz) dans Ugly Betty, et l'excellente Frances Conroy (Ruth Fisher) dans Desperate Housewives ou le film (5 étoiles...non 10 étoiles !) Transamerica.
Seule Lauren Ambrose semble avoir pris une autre voie que celle des séries, mais je ne désespère pas de voir l'ancienne Claire Fisher dans un rôle aussi fort.
Cette série restera sans contexte ma préferée de loin, juste avant Urgences et Les Soprano dans un autre genre...;)
Ces thèmes sont traités avec élégance, profondeur, et justesse, si bien que les personnages principaux deviennent sans que l'on s'en rende compte comme de véritables intimes que l'on aime, pour lesquels on pleure mais qui savent aussi nous faire (beaucoup) rire.
Comme je l'ai lu sur une critique extrêmement bien écrite, Six Feet Under mérite davantage le titre d'une grande oeuvre littéraire .
La série nous montre le quotidien d'une entreprise funéraire tenue par la famille Fisher, mais également leur vie amoureuse, familiale, ou scolaire. Alan Ball joue avec les tabous (la mort, l'homosexualité, la maladie), sans aucun faux pas, l'écriture des dialogues est intelligente et d'une finesse inégalable.
Vous l'aurez compris, j'aime cette série, et c'est un doux euphémisme. Six Feet a changé ma vision de la mort, de l'homosexualité, de l'adoption, et a singulièrement traités très justement de choses qui ont fini par également m'arriver avec une ressemblance et un timing troublants.
Canal + et France 2 ont tous deux traités cette oeuvre avec un irrespect et un dédain impardonnable, diffusant une ou deux saisons en pleine nuit, sans aller jusqu'à l'ultime saison.
Incompréhensible quand on sait que n'importe quelle critique, commentaire ou témoignage pris au hasard sur internet ne fait qu'encenser ce petit bijou.
Six Feet Under me manque beaucoup, le final (absolument sublime) ne laisse aucun doute sur son arrêt définitif, mais c'est peut être ce qui fait tout son charme...5 saisons parfaites, pas une de plus, ni une de moins.
Pour se consoler, on peut retrouver les personnages principaux, à l'interprétation phénoménale dans d'autres séries qui se sont intelligemment crée autour d'eux :
Dexter pour Michael C Hall (David Fisher)
Dirty Sexy Money pour Peter Krause (Nataniel Fisher)
Et True Blood adapté des romans "La Communauté du Sud" par mon maitre Alan Ball.
On peut également entrevoir Freddy Rodriguez (Federico Diaz) dans Ugly Betty, et l'excellente Frances Conroy (Ruth Fisher) dans Desperate Housewives ou le film (5 étoiles...non 10 étoiles !) Transamerica.
Seule Lauren Ambrose semble avoir pris une autre voie que celle des séries, mais je ne désespère pas de voir l'ancienne Claire Fisher dans un rôle aussi fort.
Cette série restera sans contexte ma préferée de loin, juste avant Urgences et Les Soprano dans un autre genre...;)
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